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5 astuces pour faire un ti'punch parfait

Le ti’punch est un cocktail très couramment servi dans les iles. Composé de rhum et  de citron, on en boit peu mais pour en profiter il faut qu’il ne soit pas trop fort, gourmand et justement dosé. Alors pour arriver à trouver l’équilibre parfait, voici 5 astuces pour réussir votre ti’punch.






1 /sucre ou sirop de canne
Pour compenser l’alcool, le ti’punch est sucré. Les recettes antillaises préconisent d’utiliser du sucre de canne, mais du côté de la Guyane on le réalise avec du sirop de canne. Alors que choisir ? Le  sirop de canne se mélange bien avec l’alcool contrairement au sucre qui se dissout très difficilement dans le rhum donc sirop de canne !


2/ Bien le doser
Pour réaliser un bon ti’punch, il faut respecter les doses : 2/3 de rhum blanc et 1/3 de sirop de sucre de canne. Par personne, il faut compter un cocktail de 6mL, soit 4mL de rhum et 2mL de sirop de canne. Si on suit cette règle on n’est pas obligé de réaliser un cocktail par personne mais on peut en faire en grande quantité.


3/ Citron jaune, citron vert ou jus de citron ?
Assurément, le citron vert. Avec sa chair charnue et son concentré d’arôme, il contrebalance le caractère fort de l’alcool. Il faut compter entre ¼ et 1/2 citron par verre (suivant la taille du citron), coupé en petits dés. On opte plutôt pour des citrons bios car on place le citron avec sa peau, donc bio égale moins de pesticide. On note quand même que le jus de citron marche aussi, bien qu’on sorte du cadre du ti’punch.


4/ Le choix du verre
En général, le ti’punch se sert dans un petit verre, ce qui d’ailleurs est à l’origine du nom de ce cocktail. Ces  verres ressemblent à des verres à shooter. Par grande chaleur, il est sympa de placer le verre un peu au frai ou au congélateur afin d’apporter un peu de fraîcheur à ce cocktail qui met le feu.

5/ le choix du moment
Attention, le ti’punch attaque car corsé en alcool. On ne programme donc pas le ti’punch si il y a des conducteurs potentiels ou alors on prévoit de quoi manger. Pour rester dans le thème, acras, frites de patate douce, banane planteur ou brochette créole sont des mets en parfait accord. Mais plus généralement de quoi grignoter pour éponger un peu l’alcool et surtout des carafes d’eau.


J’espère qu’avec ces quelques conseils vous serez amené à réaliser le ti’punch parfait qui agrémentera jovialement vos soirées d’été.


Mots-clés à copier/coller : boisson, ti'punch, cocktail, rhum, citron, sirop de canne et apéritif

5 astuces pour cuisiner avec les enfants

Les vacances sont un moment clé de partage avec les enfants. Cependant, le temps n’est pas toujours en harmonie avec cette affirmation, alors que faire quand il pleut. A la maison il est hors de question de passer des heures devant la télévision, alors on opte pour des activités manuelles, d’autres jours pour de la musique ou du théâtre et puis parfois pour de la pâtisserie. En effet, faire leur propre gouter, les enfants adorent. Oui mais voilà si on ne veut pas devoir laver la cuisine du sol au plafond, il faut mettre en place quelques astuces pour limiter les catastrophes … Voici 5 astuces simples et pratiques pour cuisiner avec les enfants



Choisir la recette
Pour faire la cuisine, avec des petits notamment, il est clair qu’il ne faut pas choisir une recette compliquée. On oublie le sabayon au champagne, le bavarois et sa crème chantilly, et on part plutôt sur du gâteau au yaourt, du brownie ou de la tarte aux fruits. Une recette simple, pas longue à mettre en place et surtout qui peut être grignotée au goûter soit peu de temps après la réalisation. Et puis s’il y a possibilité de malaxer la pâte avec les mains là c’est le bonheur total !

La bonne hauteur
Quand l’enfant est en bas âge, les éléments tels que le plan de travail, l’évier ou la plaque électrique sont souvent trop haut pour les petits.  Le marchepied est donc un élément essentiel.  Il doit être léger pour que l’enfant puisse le déplacer facilement et propre pour éviter les poils/cheveux/poussière dans la pâte à gâteau.

Equipement
L’enfant n’a pas la dextérité d’un adulte et les petits accidents sont fréquents. Pour ne pas changer 5 fois de t-shirts dans l’après-midi et pouvoir lécher le saladier sans s’en mettre partout, on fait comme les grands chefs, on s’attache les cheveux, on met un tablier et on prévoit un torchon à portée de main pour s’essuyer.

Mettre tout à portée de main
Aller chercher un œuf dans le frigo pour une maman c’est anodin mais pour un enfant, c’est compliqué : ouvrir le frigo, porter l’œuf, rigoler avec le frère ou la sœur et paf l’œuf est par terre… Alors pour limiter les catastrophes, je pose tous les ingrédients et ustensiles de cuisine sur la table ou le plan de travail, à portée de main. Cela évite les déplacements et la casse !

S’adapter à leur capacité
Et c’est là où c’est le plus compliqué car l’enfant n’a pas notre dextérité d’adulte. Un exemple : pour utiliser la farine je prends le paquet et je secoue délicatement. Si l’enfant  fait pareil, il va soulever le paquet et secouer, il y aura alors autant de farine autour du saladier que dedans. Mais si vous lui proposez une cuillère à soupe et que cuillère après cuillère il met  la bonne quantité, l’enfant est fier et vous vous pouvez laisser l’éponge de côté. D’autre part, l’enfant ne sait pas forcément lire et quand bien même gramme ou kilo ne lui parlent pas. Pour simplifier les pesée ou mesure de liquide, j’ai acheté une balance électronique qui affiche la pesée (moins de 15€ pourquoi se priver !). Simple à tarer, elle permet de comparer les chiffres donnés par la recette et ceux indiqués sur l’écran, on peut ainsi travailler sur les nombres/chiffres mais aussi sur les notions de plus petit et plus grand sans que cela soit un exercice d’école rébarbatif. Avec en plus la lecture de la recette, math et français sont au rendez-vous sans prise de tête.

J’espèce que ces quelques astuces vous aideront vous parents qui avez envie de tenter des activités avec les enfants. Gardez quand même à l’esprit qu’une bêtise est vite arrivée, j’ai ainsi dû nettoyer l’ensemble de mes tiroirs de cuisine la faute à un œuf cassé en dehors du saladier qui a coulé le long du meuble. Certes c’est pénible et ça prend du temps mais ça reste ce que j’appelle des mini-bêtises qui n’effaceront pas les fous rires (et là pour le coup même moi j’ai ri) et la joie de manger un gâteau fait maison par leurs petites mains.





Mes astuces pour faire manger des légumes aux enfants sans grimace !


Il n’y a pas encore si longtemps, les légumes n’étaient pas les bienvenus à la maison. Je ne parle pas bien sûr des  « légumes jaunes » type pâtes, riz ou frites. Non je parle du bon légume vert qui une fois posé sur la table engendre des larmes et un « j’en veux pas ! » Je parle des enfants mais aussi du spécimen masculin qui lorsque je fais des brocolis et de la purée me sert une tonne de brocolis avec une noisette de purée alors que dans son assiette il y a une miette de brocolis et un volcan de purée.

Alors après de nombreux plats  jetés, j’ai décidé de dire halte : j’ai limité les pâtes/riz/ pomme de terre et je suis passée aux légumes. Voici quelques astuces pour que ça fonctionne :

La première astuce c’est de faire découvrir les légumes aux enfants. En région parisienne, beaucoup de fermes proposent de cueillir soi-même ses légumes. Les enfants adorent se balader dans les allées, voir les différents légumes, comment chacun pousse. En rentrant à la maison, avec les enfants, on lave les légumes, on les prépare et au moment de passer à table. L’enfant est tellement fier d’avoir participé à la préparation que ça passe tout seul.

Une autre astuce c‘est le mode de préparation. Tout le monde sait que les frites, ça a la cote alors pourquoi ne pas surfer sur cette vague ? Frites de carottes, de panais, de butternut, ça fonctionne très bien et puis faite dans la friteuse sans huile ça a beaucoup de succès et c’est peu calorique.

Un autre moyen, ce sont les gratins. Courgettes, poireaux, brocolis ou même choux de Bruxelles, cuits à la vapeur puis passés au four accompagnés d’une béchamel ou d’un peu de crème et surtout de gruyère râpé pour faire le gratin.  A la maison tout le monde aime.

En hiver il y a aussi l’option soupe. Elle se fait avec toute sorte de légumes que l’on cuit avec un peu d’eau et qu’on mixe. La soupe peut être en plus agrémentée d’épices (curry, épices à couscous), d’herbes aromatiques (persil coriandre), de fromage (Vache qui rit, Kiri, chèvre) ou par l’ajout d’un peu de viande (jambon, agneau, chorizo).  Souvent le dimanche soir on fait un bar à soupe, je pose la soupe sur la table et chacun fait son petit mélange sans oublier de préparer des petits croûtons de pains au beurre et l’ail.

Enfin pour lutter contre l’invasion des pâtes, j’ai pris l’initiative de les remplacer par des légumes. La famille a ainsi pu manger du pâtisson ou des tagliatelles de carottes à la carbonara, et plus récemment des courgettes façon lasagne à la bolognaise.


En conclusion je ne vous ferai pas l’offense de vous rappeler que manger des légumes est essentiel pour la santé car source de fibre et de vitamines mais je dirai juste qu’il est du devoir des parents d’initier les enfants à tout goûter surtout dès le plus jeune âge pour habituer le palet et prendre de bonnes habitudes alimentaires.